Petit déjeuner - Déjeuner - Dîner & Logement à l’hôtel.
La journée est laissée libre pour visiter Lourdes (Entrées non incluses) : Avec ses sanctuaires, la Grotte, la Maison Natale de Bernadette, le Pic du Jer, Mini Lourdes, le château Fort de Lourdes, le musée pyrénéen et le musée de la Cire.
n Pour les clients qui le souhaitent : Excursion l’après midi pour Tarbes : A voir les jardins Massey, Nd de la Sède, la Fontaine des 4 vallées.
Petit déjeuner - Déjeuner - Dîner & Logement à l’hôtel.
La journée est laissée libre pour visiter Lourdes (Entrées non incluses)
n Pour les clients qui le souhaitent : Excursion le matin pour Pau : A voir le marché forrain et les halles, le funiculaire de Pau (Gratuit)
Lourdes (Lorda en gascon graphie classique) est une commune française d'environ 16 000 habitants située dans le département des Hautes-Pyrénées dans la région Midi-Pyrénées.
Centre de pèlerinage catholique depuis 1858, elle accueille chaque année 6 millions de pèlerins ou visiteurs venus du monde entier selon le secrétariat général des sanctuaires1, dont environ 60 000 mal
Elle est également en 2011, ce qui est moins connu, deuxième ville hôtelière de France, juste derrière Paris et devant Nice2. La même source signale qu'on y trouve en fin de compte moins de boutiques de souvenirs qu'à Paris ou au Mont Saint-Michel.
LOURDES
- Lourdes se situe au pied des Pyrénées, dans la région historique de Bigorre, sur le gave de Pau, au sud-ouest de Tarbes. Le sanctuaire se situe à la sortie de la ville en suivant le gave de Pau.
- La ville s'est bâtie autour d'un piton rocheux sur lequel a été construit le château et dans une cuvette glaciaire issue du creusement opéré par le glacier dit d'Argelès ou du gave de Pau, lors de la dernière phase de la glaciation de Wurm , puis par le gave lui-même après la fonte du glacier. Le sud de la cuvette est dominé par les massifs calcaires karstiques, à dolines et cavités, du Pic du Jer et du Béout, séparés par la vallée du gave.
- Le centre-ville, dominé par l'éperon calcaire du château fort, offre en plusieurs endroits les marques des anciennes carrières de pierre de Lourdes. Les grottes des Sarrazins (800 m de développement), et les grottes du Loup dans le massif qui domine les sanctuaires témoignent de cet état karstique soumis aux influences glaciaires3. Au nord, on trouve des traces de l'expansion maximale de ce glacier qui divergea en plusieurs langues autour du site de Lourdes après s'être heurté à des reliefs préglaciaires4 : le lac de Lourdes en particulier avec sa zone humide classée Natura 2000 mais aussi la tourbière dite de Biscaye ou de Poueyferré et celle du Monge, qui ont été le support de travaux fondateurs de palynologie glaciaire6, ainsi que des arcs morainiques périphériques qui offrent des dépôts rocheux visibles, vers Peyrouse à l'ouest, Bartrès au nord-ouest, et au-dessus de la lande de Sarsan qui domine la ville au nord-est, vers Bourréac, face à la chaîne de montagne.
- Cet ancien bassin glaciaire est aujourd'hui très largement occupé par la ville tout en constituant un carrefour de communication entre les différentes vallées qui y débouchent. Par son creusement, le gave a contribué au partage de cet espace en deux étages, celui de la ville basse qui est celle des sanctuaires, des hôtels et des commerces qui les entourent, et celui de la ville haute dont la vie est celle d'une ville moyenne, la deuxième en nombre d'habitants au niveau départemental, marquée par un flux touristique et de passage important.
Histoire
- En France et internationalement, Lourdes est la cité mariale par excellence. C'est un centre mondial de pèlerinages dont l'histoire a commencé en février 1858. « Pourtant, avant 1858, il y a un autre Lourdes ». Le site de Lourdes, au carrefour de plusieurs vallées, surnommé le "verrou du Lavedan", a en effet une histoire largement documentée, couvrant toutes les époques du Paléolithique à nos jours, et dont la connaissance est essentielle à celle de ce secteur pyrénéen.
Le nouveau Lourdes est né avec les pèlerinages. Tant sur les plans religieux que sociétal et économique, le sujet est majeur. L'histoire de Lourdes fait donc l'objet d'un article détaillé auquel le lecteur est invité à se reporter, dans lequel ont été reproduits les éléments d'histoire contenus dans le présent article et dans lequel ils sont maintenus, provisoirement et dans leur version initiale.
- Objets et souvenirs religieux
Absent à l'intérieur du domaine clos de la Grotte où se trouvent les sanctuaires, le commerce de souvenirs religieux est très développé à l'extérieur, le long de la rue de la Grotte et du boulevard de la Grotte en particulier.
On dénombre 220 magasins de souvenirs soit un magasin pour 30 000 visiteurs (ce taux est inférieur à la moyenne de certains grands sites français comme Notre-Dame de Paris, le Mont Saint-Michel, la Cité de Carcassonne).
Le site des sanctuaires qui couvre 51 hectares a pour centre névralgique la grotte de Massabielle et la basilique Notre-Dame-du-Rosaire, achevée en 1889, que surplombe la basilique de l'Immaculée-Conception. L'impressionnante basilique Saint-Pie X, inaugurée en 1958, uvre toute en béton de larchitecte Pierre Vago, sétend encore plus à l'écart sous terre. Le pèlerinage de Lourdes accueille chaque année plusieurs millions de pèlerins.
- L'église de la Dormition-de-la-Vierge est une Église grecque-catholique ukrainienne qui dépend de l'Exarchat apostolique de France des Ukrainiens de la Sainte Croix.
La Maison Saint-Ignace de Loyola: L'ancien couvent lourdais des oblats et oblates bénédictins d'Albi et leur école étaient originellement une création du père Ernest Colombier via sa fondation Saint-Martin. Ce qui était d'abord un orphelinat devint ensuite une école technique qui cessa son activité dans les années 1980 suite au manque progressif de personnel religieux. Géré depuis par la DDASS, le complexe fut abandonné en 2009 avant de devenir, en avril 2011, le couvent (ou "maison") Saint-Ignace des surs traditionalistes des Petites Servantes de Saint Jean-Baptiste. La Maison Saint-Ignace de Loyola est donc une fondation de la maison-mère de Notre-Dame du Rafflay (à Château-Thébaud) mais aussi le lieu d'implantation du prieuré Sainte-Bernadette appartenant à la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X. Leur chapelle, dédiée à "Marie Reine du Clergé" a été bénie en 1936 par Mgr Gerlier et est également agrémentée par des vitraux du Christ-Roi, du saint Curé d'Ars, de saint Pierre et de saint Augustin. La vocation première de ces nonnes vêtues de blanc, dont les offices sont menés selon le rite tridentin, est d'accueillir les prêtres et religieux âgés mais aussi quelques pèlerins.
GROTTES DE BETHARRAM
Les Grottes de Bétharram sont parmi les plus belles qui existent,
et certainement les plus curieuses à visiter, car elles livrent,
dans la variété de leurs aspects, la clef de la formation
de presque toutes les grottes mortes ou en pleine activité.
Elles comprennent cinq étages superposés comme ceux d'une maison,
étages creusés à des époques différentes.
Découverte en 1810, c'est une des premières grottes ouvertes au public. Dès 1880, les Anglais résidents à Pau venaient s'y aventurer grâce à l'aide du meunier Losbats de Lestelle Bétharram.
Après quelques années de travaux, Léon Ross, artiste peintre et un des premiers photographes des Pyrénées, les ouvre au grand public en 1903. Dès l'ouverture, il les électrifie tout en faisant profiter la population des alentours de ce nouveau confort : la lumière.
CARCASSONNE
- La ville est connue pour la Cité de Carcassonne, un ensemble architectural médiéval restauré par Viollet-le-Duc au xixe siècle et inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1997